Cette première étape finistérienne devrait mettre les coureurs aux prises avec le vent. Le parcours n’est pas difficile en soi mais à partir du 60ème kilomètre le peloton fera la course en bord de mer jusqu’à l’arrivée, le long d’une côte fortement exposée.
Des mouvements de courses pourraient alors se produire. Et même si le circuit final n’est pas difficile, l’arrivée « au bout du monde », devant la pointe St Mathieu, promet d’être magnifique.